Description
– J’attends un printemps 5’12’’
– Un linceul de brume 6’00’’
– Mes amis, mes frères 5’45’’
– Les côtes 6’03’’
– Chronique canine 6’15’’
– Mes semblables 4’55’’
– De deux choses lune 4’06’’
– Les 4 mortes saisons 4’45’’
16,00€
ALBUM LAZULI 2018
Digipak / booklet 20 pages
– J’attends un printemps 5’12’’
– Un linceul de brume 6’00’’
– Mes amis, mes frères 5’45’’
– Les côtes 6’03’’
– Chronique canine 6’15’’
– Mes semblables 4’55’’
– De deux choses lune 4’06’’
– Les 4 mortes saisons 4’45’’
Prog Archives https://www.progarchives.com/album.asp?id=56854 –
After enjoying their performance live recently on Midsummer Prog Festival 2018 and having only listened their first album before (and not enjoying it very much), I decided to go through the last record of the band!
And I have to say the very positive impression that these songs gave me when I listened live are more or less the same than in this album. Their music is not really progressive, groundbreaking or original, but the overall quality of the record is just excellent, both in terms of production and compositions.
The album starts with J’attends un Printemps is a very beatiful and delicate way, with fine keyboards and vocals, accompanied by soften guitars, but soon the power of the whole band explodes in 02:57 sounding just great and very cohesive, making a crescendo which is a trademark of the band.
Un Linceul de Brume is even better, with a great beginning with echoed guitars and the great voice of Dominique Leonetti, who shows his qualities as a great Singer. The final part of the song is an apotheosis of leòde, distortions and a brutal double pedal on drums. Mes Amis, Mes Frères is rockier, even with some Hammond organ in the verses and a great guitar solo. Not so good as the two previous tracks, but good for being played live.
Les Côtes es a very surprising change of directions, with a very cool beginning which sounds like a strange carnival music, dark and atmospheric. And even the predictable crescendo maintains catches the listener’s attention! Just like Chronique Canine, another dark tune which follows the path of the previous one but in a more rhythmic and guitar-oriented way and with another great use of the leòde, an instrument which gives this band an special and very welcomed personality.
Mes Semblables retrieve the rock mood of the third track, but with an oriental influence in the verses and a good instrumental bridge. De Deus Choses Lune is another hit of the album with powerful percussions on the verses, fine vocals (again) and tons of dramatism. And the leòde steals the show again!
The album ends with the excellent Les 4 Mortes Saisons, a sweeping acoustic song which is almost perfect in its minimalism.
Conclusion: if you are searching for intricated prog passages or tons of complexity you are on the wrong track, because Lazuli are some kind of world music rock band with some touches progressive elements. But the quality of their music is undeniable, just like their very strong and catchy live performances.
They are not the most original sounding band and they abuse of crescendos in their songs, but the incredible and unique use of the self-invented instrument leóde and the quality of the production, the vocalist and the rest of the band, make the listening of this album a real pleasure.
Excellent work! I’m eager to hear more albums of this band.
Best songs: Saison 8 has not a single bad or mediocre song, but J’attends un Printemps, Un Linceul de Brume, Les Côtes, De deux Choses Lune and Les 4 Mortes Saisons are the best.
My rating: ****
Amarok Magazine http://www.amarok-mag.com/lazuli-saison-8/ –
Le dernier album de Lazuli est une fois encore beaucoup de chose à la fois. Parce que le groupe est atypique dans un univers musical français peu enclin à la différence, mais aussi par ce feu d’artifice permanent qui donne à leur musique ce côté à fois grave et espiègle qui s’élève définitivement sur scène. C’est là que nos amis s’expriment le mieux, et donnent à leur inspiration les moyens de s’exprimer avec la plus grande conviction et une puissance de feu optimum. Que cette petite famille percute ensemble ce point de convergence qui fait tout n’est pas la moindre de leurs qualités. On retrouve donc Claude et Dominique Léonetti (Leode, guitares et chant), Gédéric Byar (guitare), Vincent Barnavol (batterie) et Romain Thorel (claviers) dans un huitième qui étend l’univers de Lazuli tel qu’on le connaît depuis (4603 battements) (2011), Tant Que l’Herbe est Grasse (2014) et Nos Âmes Saoules (2016). En prolongeant un style tant au niveau du son que de ses texte, le combo originaire du Gard offre un dessein musical sans schéma tactique prédéfini, avec un désir simple, celui d’une écriture efficace qui emporte et transporte. En faisant s’entrechoquer des notions comme l’émotion, la virtuosité et l’euphorique, Lazuli ne retranscrit pas seulement des sentiments, il délivre ses messages avec un art consommé de l’introspectif dénué de clichés. Le résultat est emballant : un journal intime à la fois sombre et lumineux.
Music Waves https://www.musicwaves.fr/frmReview.aspx?ID=16836&REF=LAZULI_Saison-8 –
Quoi de neuf du côté de Lazuli en cette année 2018 ? Une huitième saison, nouvelle collection de 8 titres pour ce groupe atypique qui a su conquérir les cœurs et se construire au fil des albums une renommée qui déborde aujourd’hui de la seule sphère progressive et qui s’exporte désormais à l’international, Grande-Bretagne et Allemagne en tête.
Avec ce nouvel album, les Gardois continuent sur la lancée de leurs deux précédentes productions. Du côté de la musique, nous retrouvons les ingrédients habituels du groupe, avec des parties apaisées piano/voix (‘J’Attends un Printemps’) ou faisant la part belle à la guitare acoustique (introduction de ‘Mes Amis Mes Frères’), mises en rupture avec des chorus électriques tout en fureur portés par la Léode et la guitare si caractéristique de Ged Byar, même si ce dernier apparaît un peu moins au premier plan que sur l’album précédent.
Pas grand-chose de neuf sous le soleil des Cévennes me direz-vous ? Certes, les habitués des productions de l’Abeille Rôde seront en terrain connu. Pourtant, quand le groupe lâche les chevaux (final de ‘Les Côtes’, ‘Mes Semblables’ et sa rythmique typique), cela s’avère toujours aussi percutant, toujours aussi jouissif. Les couches sonores se superposent, les instruments dialoguent et offrent une lecture à plusieurs niveaux des arrangements, le tout avec ces textures qui distinguent le groupe de ses semblables.
Mais au-delà du simple propos musical, le verbe percutant de Dominique Léonetti donne à ces différents titres une stature imposante qui prend de surcroît toute sa dimension en live. Cette poésie quelque peu désabusée lui permet d’évoquer avec des mots qui touchent juste les préoccupations environnementales (‘Un Linceul de Brume’, ‘Les Côtes’) tout comme la condition animale avec l’improbable ‘Chronique Canine’, mais également de s’offrir un brin de nostalgie (‘Mes Amis, mes Frères’) ou de passer un message percutant à l’attention d’une société égoïste dans laquelle il ne se reconnaît plus (‘Mes Semblables’ et ses faux airs de ‘Prisonnière d’une Cellule Mâle’).
Lazuli est un groupe généreux qui, galette après galette, dépose son âme au pied des oreilles de ses auditeurs. Cette “Saison 8” ne fait pas exception à la règle, et si ce n’est une analogie marquée avec les productions qui l’ont précédée qui pourrait amener les moins fidèles à s’en éloigner, elle garantit de nouvelles émotions fortes à ceux qui s’immergeront une nouvelle fois dans l’univers lazulien.
medium.com https://medium.com/@sgallay/lazuli-saison-8-a84760a3e072 –
Lors d’une précédente chronique, j’avais dit qu’un nouvel album de Lazuli, c’est un peu comme retrouver de vieux amis. Saison 8 en est une nouvelle — huitième — illustration. Mais, comme parfois en amitié, ces retrouvailles sont douces-amères.
Lazuli est un groupe français dont la musique flirte avec le « world-prog », le rock progressif influencé par la world-music, à la Peter Gabriel. De plus, c’est un des rares groupes francophones pour lequel je ressens plus que de la simple tolérance.
Il faut dire que c’est une formation que j’ai déjà vu en concert au moins quatre fois et, que ce soit devant un public de Valaisans bourrés ou face à dix mille fans hystériques, ils ont toujours livré une prestation exceptionnelle. Mais en album, ce n’est pas toujours du même niveau.
Avec huit pistes et près de trois quarts d’heures, Saison 8 est un album au format classique, avec des compositions entre quatre et six minutes. C’est cependant un album sombre, peut-être le plus sombre réalisé par le groupe, où transperce le plus clairement une forme de désespoir face à la bêtise humaine, thème qui traverse plusieurs des compositions: « Linceul de brume », « Mes semblables », « Les côtes », « Chroniques canines », notamment.
Les frères Leonetti, Dominique (chant et guitare) et Claude (et son inséparable léode à la sonorité si particulière) constituent toujours l’épine dorsale du groupe ou, à défaut, son identité musicale. Le chant est surtout très caractéristique, clair et maîtrisé, jouant des mots avec virtuosité. Mais le reste de Lazuli ne sont pas pour autant des faire-valoir et contribuent à la solidité et à l’intensité des pistes.
Cela dit, avec Saison 8, Lazuli fait du Lazuli. Passé cette tautologie, il y a un souci: si cet album est extrêmement bien foutu, il ne recèle absolument aucune surprise. Quelques moments forts (comme l’instrumental qui conclut “Les côtes”), une absence presque suspecte de moments faibles, mais rien de vraiment renversant non plus.
Au final, il y a trois possibilités:
Vous ne connaissez pas Lazuli est Saison 8 est un album tout à fait classique, une porte d’entrée typique vers ce groupe.
Vous connaissez et appréciez Lazuli et cet album est exactement ce que vous attendez, ni plus ni moins.
Vous connaissez et appréciez Lazuli, mais vous attendez plus de ce groupe — comme votre serviteur — et, forcément, vous êtes un peu déçu.
Saison 8 est un bon album de Lazuli, mais au-delà du plaisir sincère de les retrouver en pleine forme, je ne peux pas m’empêcher de penser, à son écoute, que le groupe nous a déjà gratifié d’albums plus percutants que cela.
Bonus: pour une fois, pas de vidéo officielle, mais “Les côtes” enregistré par Gil Prog lors de leur récent passage “Chez Paulette” (avec Galaad en première partie)
The Prog Space https://theprogspace.com/lazuli-saison-8/ –
It was a hot summer afternoon in 2015 when I fell in love with Lazuli. I had never heard or seen anything of them, but when they celebrated their music on the Loreley stage at Night of the Prog I was sold on the spot. That festive spirit, total joy on the stage and the unique sound were like nothing I had heard before.
In their previous album, “Nos Âmes Saoules“, many reviewers saw the Leonetti brothers and their troupe on the peak, and indeed it seemed hard to top – but the five Frenchmen did it. “Saison 8“, their eighth album, builds up on the predecessor’s strengths and is even more diverse.
As always, the music is built around Dominique Leonetti‘s unique voice (and the powerful production makes it shine crystal clear and stand out even more) and the Léode, a kind of a one handed guitar designed and developed by Claude Leonetti, who has the left arm paralyzed after a motorbike accident. He gets the most freaky or beautiful sounds out of his special instrument.
The tone on “Saison 8” is more on the silent, thoughtful side, moving somewhere between artrock, world music, French chanson and a prog rock reminding us to the early Marillion. The songs are built up carefully, like the tense opener ‘J’attends un printemps’ or ‘Les côtes’, leaving space for the music to sink in. But Lazuli know when to raise the speed and get out the prog – impressively crafted with strange soundscapes at the last part of ‘Un linceul de brume’ and rocking heavily in the hymnic ‘Mes amis, mes frères’, which sure is going to be a great live song with its stomping rhythm and catchy chorus.
And while ‘Chronique canine’ breathes atmosphere all over, ‘Mes semblables’ is another one of those catchy but never too simple songs with that unique Lazuli feeling, with crying guitar/léode and great percussion. Romain Thorel, usually responsible for playing the keyboard, adds some of his trademark French horn sounds to ‘De deux choses lune’ – because, which rock band has a French horn on the stage!? – and it is blended masterfully with keyboard and léode at the end. The album fades out appropriately calm and thoughtful after 44 minutes with the beautiful ‘Les 4 mortes saisons’, which one last time makes Dominique Leonetti’s voice – and humming! – shine.
In the lyrics, which are entirely in French and therefore only partially accessible to this reviewer, Lazuli touch a variety of current topics. Leonetti sings against the abuse of nature, about fugitives – and dogs being set out at the highway on the way to the vacations. Don’t be scared off by the French lyrics, even if you don’t understand them: They are an integral part of Lazuli’s sound and atmosphere.
It looks like 2018 won’t stop spoiling us with great releases, and “Saison 8” is no exception. A wonderful, warm album, which leaves that fuzzy feeling in the tummy that only Lazuli can create. If you have the chance to catch them on their European tour that just started, don’t hesitate a minute – because it only gets better on stage.
Neoprog.eu https://neoprog.eu/chronique/lazuli/saison_8 –
Harmonium inventait en son temps la cinquième saison. Lazuli nous propose au printemps la huitième. Les artistes endossent à nouveau leurs costumes de scène, reprennent leurs rôles, poursuivant les épisodes d’un récit entamé vingt ans plus tôt avec Mater les couleurs. Huit saisons comme leurs huit albums studio et les huit pièces qui composent le tout dernier.
Durant le grand chamboulement qui précéda 4603, nos gardois durent se réinventer pour exister à nouveau et faire battre nos coeurs. Chaque album, depuis, apporte d’infimes changements, de quasi imperceptibles mutations qui, après quatre saisons et et deux films deviennent plus tangibles. Si nos âmes saoules portait en lui la colère de Dominique, cette dernière saison inaugure une nouvelle écriture empreinte de nostalgie (‘J’attends Un Printemps’, ‘Mes Amis, Mes Frères’) et quelques prises de positions bien tranchées dont la plus belle est certainement ‘Les Côtes’.
Si les musiciens restent fidèles au groupe comme les instruments joués, la musique évolue. La léode de Claude impose moins ses accords caractéristiques, les claviers de Romain accompagnent plus qu’ils ne dirigent, laissant de l’espace pour les percussions de Vincent et les notes de guitares de Gédéric et Domi. Une musique, parfois dépouillée, qui sied à la voix haute de Dominique.
Ecologie, souvenirs, migrants, protection des animaux, enfance, genre humain, médias, les états d’âme de notre poète se déclinent en pièces progressives (‘Les Côtes’), folk (‘Mes Semblables’), acoustiques (‘Les 4 Mortes Saisons’) ou plus rock (‘Mes Amis, Mes Frères’). Lazuli s’essaye également à de nouvelles compositions dans ‘J’attends Un Printemps’ avec des sonorités de violoncelle mêlées au piano, ou bien avec ‘Les Côtes’ qui sonne comme une BO d’un film de Tim Burton.
La plume de Dominique trace, sur le livret qu’il a illustré, ses plus belles rimes dans ‘Un Linceul de Brume’, ‘Les Côtes’ et ‘Les 4 Mortes Saisons’. Si la ‘Chronique Canine’ véhicule un message fort, sa plume s’est un peu émoussée, à trop appuyer sa colère sur le parchemin. L’autre petite déception vient d’une production sans doute perfectible lorsque l’on cherche la petite bête au casque.
La huitième saison de Lazuli m’apparaît comme la plus belle de toutes. Elle arrive en même temps que la douceur et nous invite à sortir de nos maisons pour aller à leur rencontre quel que soit l’endroit où ils joueront. Lazuli nous prouve, une fois encore, qu’il reste le grand groupe de rock progressif français qui rassemble un public émerveillé de sept à soixante dix-sept ans. Saison 8 ne sera certainement pas l’automne du groupe, mais plutôt un printemps resplendissant qui annoncera un été radieux.
fredsimoneau https://fredsimoneau.wixsite.com/profilprogarchives3/lazuli-saison-8-review –
Saison 8 pour 8 albums studio où pour les 8 titres de ce dernier opus qui me laisse perplexe! Autant le dernier “Nos Ames Saoûles” m’avait emballé de par ses compositions fruitées, variées autant là j’ai l’impression qu’ils s’essoufflent! Trop de léode et pas assez de guitare (en soli), des beaux textes mais ce ne doit pas être le plus important pour un groupe prog car ceux-ci captant trop l’attention et ramenant chaque titre (plus de 6!) au même développement! Petit aparté sur les textes très expressifs, souvent incisifs (“Chronique canine”!!) qui m’ont plus retenu et m’ont ainsi “évité” de partir en délire musical.
Alors attention, ce n’est pas mauvais non plus, c’est juste que ça me rappelle la parution du cd “US” de PETER GABRIEL, bon, très bon mais avec des développements trop monolithiques et un crescendo musical qui n’arrive pas réellement à décoller! Alors la léode, c’est magique ! La voix est égale à elle-même, très belle mais trop présente qui coupe les atmosphères progressives et évite de partir véritablement. Voilà ce que leur dernier opus m’a fait ressentir!
Pour les titres, ”Un linceul de brume” sort du lot avec sa finale dantesque et vient ouvrir l’album (oui j’attends la venue du printemps!); pour les 2 titres suivants, on retombe dans des compositions intéressantes sans plus même si le combat guitare-léode est toujours aussi particulier alors qu’un petit plus (un solo plus appuyé avec une chanson un peu plus longue avec petit break musical ?) leur aurait donné le format idéal pop-prog-fusion-world ! Heureusement, ”Chronique canine” redonne du pep et de l’énergie avec une rythmique appuyée plus métal prog !
Les 2 titres suivants pris à l’unité sont aussi bons mais il faut attendre la fin pour avoir une envolée prog vibrante et se rejoint l’impression d’un air déjà connu. Là aussi, petit souvenir sur les CDs de MARILLION 2e époque avec trop de voix et pas assez de places aux différents instruments qui bouillonnaient en sourdine ou explosaient dans un temps beaucoup trop court et qui m’ont fait un peu m’éloigner d’eux. Petit souvenir sur les derniers ANATHEMA qui peinent aussi à décoller, développant des titres trop linéaires, manquant de réels breaks et manquant finalement du petit grain de folie pour exploser d’émotion à l’écoute. La dernière “Les 4 mortes saisons” aurait mérité un final musical pour espérer finir avec un feu d’artifice et me réconcilier un peu plus avec l’effort de ce CD!
Bon, résumons, si je ne connaissais pas, je serais conquis! Si je critique le fait de ne pas tout comprendre des textes en anglais. Là je devrais être aux anges ! Si j’attendais un CD encore meilleur que “nos âmes saoules”, je suis juste déçu! Alors que dire en conclusion pour rester le plus objectif possible ? Un groupe qui travaille la langue de MOLIERE de belle manière et qui possède en son sein des musiciens étonnants (Claude à la léode et surtout Romain avec son cor me donnant toujours autant de frissons), des compos parfaites pour qui les découvre et des titres qui seront sûrement exploités pleinement en concert et qui avec un peu plus de minutes sous le capot mettront en transe .
Un groupe dont j’aurai adoré mettre un 9.2 mais qui demeurera à 8.5, au vu du manque d’innovation! Mais … ce n’est déjà pas si mal!
PISTES / TRACKS
1. J’attends un Printemps (5:12)
2. Un Linceul de Brume (6:00)
3. Mes Amis, Mes Frères (5:45)
4. Les Côtes (6:03)
5. Chronique Canine (6:15)
6. Mes Semblables (4:55)
7. De deux Choses Lune (4:06)
8. Les 4 Mortes Saisons (4:45)
Musiciens / MUSICIANS :
– Dominique Leonetti / Vocals, 6 & 12 string guitars
– Gédéric Byar / Guitar
– Claude Leonetti / Léode
– Romain Thorel / Keyboards, French horn
– Vincent Barnavol / Drums, marimba